Business et statistiques
Cette semaine, nous ne vous parlerons pas des bravades entre Israël et l’Iran ou la sortie des faucons de la Fed qui font comprendre que l’inflation n’est pas encore maîtrisée. Pour ceux qui me lisent en conscience, vous aurez compris que les deux sont liés par le biais de la hausse du prix du pétrole. Je vous parlerai plutôt des secrets d’un business extraordinaire qui doit inspirer les stratégies d’options. Si vous n’êtes pas intéressé, allez au dernier point qui est plutôt spirituel. Enfin, de la spiritualité de comptoir. La suite...
Un excellent business doit générer des revenus réguliers. Nous gérons nos options dans la même philosophie. Bien entendu, l’expérience fait la différence. Il est raisonnable de penser qu’une stratégie de vente d’options peut générer un revenu mensuel dans 80% du temps. Pour le reste des probabilité, des stratégies sont développées pour avoir des pertes acceptables qui permettent de rester dans le jeu afin d’atteindre une liberté financière. Et oui, jouer un grand nombre de jeux à espérance mathématique positive est l’avantage procuré par les ventes d’options.
Au sein d’un business extraordinaire, les managers doivent être proactifs et avoir la faculté de s'adapter à un évènement complètement inattendu. Oui, le “et” est important. A nouveau, nous gérons nos options dans cette idée. Chaque jour, nous utilisons un logiciel similaire aux outils utilisés par les teneurs de marché (=les baleines)pour être proactif. Ce même outil est utilisé pour faire face à des évènements extrêmes.
Restons dans les business d’exception: Quand un projet ne fonctionne pas, il faut prendre sa perte. mais le plus important, il faut remplacer cette perte par une nouvelle idée ou stratégie. Saviez-vous qu’en 1880, Nokia fabriquait des chaussures en caoutchouc? La suite, vous la connaissez. Dans le monde des options, lorsqu’un “stop” est exécuté via des futures, il faut le remplacer par une nouvelle stratégie d’option. Désolé pour le côté technique
Les partenaires et salariés ne doivent pas être en concurrence et doivent travailler pour la société, sans développer un esprit de petit chef. Là, je crois que ç’est très rare dans le monde de l’entreprise. Dans notre école et sa communauté de traders expérimentés, nous développons cet état d’esprit. “Donner recevoir” est une idée qui se retrouve dans toutes les religions ou philosophie.
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