Faible volatilité et Paulo Coelho
Notre école a maintenant quatre ans. Nous avons tenu un journal et partagé les performances de nos comptes avec les étudiants. L’idée est de toujours s’améliorer dans ce qu’on fait pour atteindre la liberté financière. A nouveau le partage. Mais qu’avons-nous appris? Si vous n’aimez pas les trucs un peu techniques, inutile de lire la suite. Sauf le dernier point.
Quelle est l’échéance optimale pour vendre des options. Et bien, ça dépend. Dans des conditions de volatilité implicite normale ou élevée, 45 jours de maturité est le “sweet spot”. Un bon équilibre entre la valeur temps reçue et le risque (= changement de delta, ou gamma pour les intimes). Mais que se passe-t-il dans les contextes de volatilité implicite extrêmement basse? La suite …
Dans un contexte de volatilité implicite basse (VIX < 20%, sa moyenne historique), il est optimal de vendre des options à court terme (un jour est possible sur l’AEX) et se couvrir à bon compte en achetant des options à plus long terme, mais avec une maturité inférieure à 45 jours. Attention, ça devient un peu plus technique…La suite
A quelle niveau faut-il implémenter des “stops”, afin de trouver le meilleur équilibre entre performance attendue et risque? Et donc liberté financière. Première idée, le niveau des stops ne doit pas être implémenté pour ne jamais perdre mais bien pour éviter toute perte non récupérable et surtout “rester dans le jeu” dans le monde passionnant des vendeurs d’options. Normal, ça marche à long terme si on joue un grand nombre de jeux. Mais il y a mieux: Trouver une combinaison de maturité pour assurer un chèque sur cette période en absence de cygnes noirs. C’est ce qui est expliqué dans nos cours avancés. Voilà, c’est fini pour l’aspect technique. Merci de m’avoir suivi. Un peu de spiritualité pour terminer en citant mon auteur préféré, Paulo Coelho.
“Ce que nous ignorons, c’est que, en coulisse, ceux qui tirent les ficelles demeurent anonymes. Ils savent que le véritable pouvoir est celui qui ne se voit pas.Il est trop tard, et on est piégé”. Dans notre métier, ceux qui “tirent les ficelles” la smart money, ou les baleines. Et l’orque de Orcatrader ose s’attaquer aux baleines. C’est notre mission.
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